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28 février 2012 2 28 /02 /février /2012 09:35

Dimanche 26 février 2012, 10h00 - Plus d'un an après le championnat régional aquitain de cross-country 2011 où je n'avais pu faire mieux qu'une 74e place synonyme d'élimination, je tente un retour du côté de Lauterbourg. J'ai en effet choisi la pointe nord de l'Alsace pour laisser une petite trace. L'objectif reste modeste : les récentes rigueurs de l'hiver (jusqu'à -20° C) me valent de trainer aujourd'hui une énorme... rhinite sur les bords du Rhin.

Les coureurs de ce 10 km à pied... pratiquement à cheval sur la frontière franco-allemande sont partis au galop. Je consulte ma montre au 1er km : 4'20". Encourageant pour un revenant à court d'entraînement et de souffle. Mais attention à ne pas se griller au pays de la tarte flambée... Conscient de mes capacités respiratoires limitées, je regagne la ligne d'arrivée, heureux d'en terminer... en 43'00" tout rond.

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11 janvier 2011 2 11 /01 /janvier /2011 11:34

Champ départemental de cross 2011Bon-Encontre (47), dimanche 9 janvier 2011, 15h15 - Le léger vent frais qui souffle au départ de ce championnat départemental de cross ne semble pas avoir refroidi les ardeurs des 47 concurrents (séniors et vétérans réunis) venus avaler un parcours rendu très praticable par la faible pluviométrie de ces derniers temps. Dès le premier virage, je viens me caler, sans caler, dans la première moitié du peloton que je ne quitterai plus jusqu'à l'arrivée (résultat détaillé ici). Cette entrée en matière est encourageante, même s'il faudra faire beaucoup mieux lors du championnat régional à la fin du mois. D'ici là, reprenons le(s) chemin(s) de l'entraînement...

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12 décembre 2010 7 12 /12 /décembre /2010 23:58

Cauderoue (47), dimanche 12 décembre 2010, 10h00 - Plébiscitée cette année par plus de 500 participants, la Course des sables est une... CAP qui franchit un cap. Malgré un réveil tardif à cause du... marchand de sable qui a tenté de m'empêcher de troquer mon lit douillet contre un... lit de sable, je suis juste à l'heure au départ de cette belle épreuve sur chemins forestiers que j'aborde dans le cadre de ma préparation hivernale. Au coup de pistolet, je me rue vers l'avant pour aborder placé (dans le top 50) la première montée proposée à froid (on peut le dire puisqu'il ne fait pas plus de 2°C). Déchaîné, j'enchaîne plutôt convenablement les difficultés de ce beau tracé exigeant. A mi-parcours (7,5 km en 32'55"), je dois toutefois accepter l'idée (et la réalité) de ne pas réaliser l'objectif ambitieux de boucler la distance en moins de 1h03'00", comme le confirme mon passage au 10e km (45'05"), alors qu'il reste une dernière grosse côte à escalader. Si le chrono final n'est pas formidable (bien qu'en progression d'env. 20" par rapport à ma précédente participation), je termine néanmoins dans le premier décile et dans le temps honorable de 1h05'49" (résultat détaillé ici). Pas si mal compte tenu des circonstances.

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11 octobre 2010 1 11 /10 /octobre /2010 09:36

St-Etienne de Fougères (47), dimanche 10 octobre 2010, 9h30, temps pluvieux. Une petite centaine de coureurs ont bravé les conditions météo particulièrement humides pour honorer l'édition 2010 de la Course du Pruneau Nouveau. Le départ en léger faux plat descendant permet de trouver instantanément la bonne allure (4'04" au 1er km).

Premier incident de course : bien que... tiré à 4 épingles, je vais devoir effectuer les 9/10e de la course dossard à la main, la pluie ayant eu raison du carré de papier portant le numéro 53. Un détail sans incidence sur ma progression (7'53" au 2e km). Un... noyau de 5 coureurs se forme après le 2e km. Pays du pruneau oblige, je décide de "flinguer" le groupe sans attendre. Du coup, le quintet n'est plus qu'un duo au 3e km (11'45").

Deuxième incident de course : au 4e km (15'39"), le lacet de ma chaussure gauche se défait, malgré un triple nœud initial. Voilà un... dénouement inattendu. Qu'à cela ne... tienne, j'avance bien, malgré ce... fil à la patte (19'35" au 5e km). A la faveur d'un virage en montée et, pure coïncidence,... en lacet, je reviens sur un concurrent qui ne me... lâchera plus d'une semelle jusqu'à l'arrivée. Toujours... liés au 9e km (35'52"), nous sommes même rejoints par un 3e concurrent qui, en ce jour de pluie, tente de finir... en trombe. Locomotive pendant une bonne partie de la course, je refuse de me faire doubler avant la gare d'arrivée et... durcis le train aux 9,5 km pour finir... comme un TGV. Grâce à ce finish disputé, j'intègre le top 10 et repasse, pour la première fois depuis bien longtemps, sous la barre des 40'00" sur 10 km (résultat détaillé ici).

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28 septembre 2010 2 28 /09 /septembre /2010 10:21

Villeneuve sur Lot (47), dimanche 26 septembre 2010, 9h00, temps idéal. A en juger par le peloton massé sur la ligne de départ des 15 km du Villeneuvois, cette épreuve toujours aussi sympathique semble conserver tout son pouvoir d'attraction. Preuve en est la présence chaque année d'une importante délégation des villes jumelées d'Avila, Espagne, et Neustadt bei Coburg, Allemagne, qui vient grossir les rangs des fidèles, dont je suis.

Petit coup d'oeil sur la montre au 2e km (9'00"), suivi d'un petit coup d'accélérateur pour revenir sur les bases de 4'00" / 4'05" au mille jusqu'au 6e km (25'18"). Le retour en ville pour un 1er passage près de la ligne d'arrivée est une innovation agréable du parcours qui propose désormais aux participants d'enchaîner 2 boucles distinctes. En perte de vitesse par rapport à ma performance de l'an dernier (1h00'59"), je gère au mieux le retard qui s'accumule. Des limites actuelles clairement anticipées, puisque je me suis initialement donné 1h03' comme objectif à l'arrivée. Et à une seconde près, je ne me suis pas trompé (résultat détaillé ici).

 

 

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13 septembre 2010 1 13 /09 /septembre /2010 22:05

Agen (47), samedi 11 septembre 2010, 17h00. Deux petites semaines après le marathon de Guernesey, je n'ai pu résister à... l'appel du pied (pour un coureur, logique)  que m'a lancé le 10 km des Foulées agenaises du Petit-Bleu. J'aborde cette course en toute décontraction, animé par la simple envie de refaire un peu de vitesse en terminant si possible sous la barre des 43'00".

Question vitesse, je suis servi. A peine le départ est-il donné après un vibrant hommage aux pompiers new-yorkais rescapés des attentats du World Trade Center il y a 9 ans jour pour jour que l'imposant peloton se déverse dans les rues d'Agen comme on y déverserait un.. palox de prunes. Je passe le 1er kilomètre sans m'attarder à la terrasse des cafés du centre-ville (4'10"), avant d'atteindre la mi-course en 20'32".

Sur l'Esplanade du Gravier, je coupe la ligne d'arrivée en 41'31", agréablement surpris de ma performance du jour (résultat détaillé ici).

 

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25 juillet 2010 7 25 /07 /juillet /2010 19:52

Moutiers-les-Mauxfaits (85), samedi 24 juillet 2010, 19h30. Plus de 650 coureurs sont au départ du semi-marathon qui conduit à la plage du Rocher, à Longeville/Mer. En délicatesse avec mon dos, je me place délibérément parmi les derniers concurrents pour être certain de partir prudemment. Au coeur du peloton, je passe ainsi le 1er km en 5'23". Ce début de course sans douleur dorsale me pousse à appuyer légèrement sur l'accélérateur (9'57" au 2e km). Toujours pas de douleur. J'en remets une couche (18'27" au 4e km). Au 5e km (22'40"), je récupère les temps de passage de mon chrono-cible. Les 3 jours d'arrêt imposé m'ont apporté une certaine fraîcheur qui s'ajoute à la température idéale de cette fin d'après-midi vendéenne. Malgré quelques légers faux-plats ici ou là, le parcours est roulant et propice à la performance. La traversée des localités d'Avrillé et du Bernard devant un public nombreux fait chaud au coeur. Les choses se corsent entre 14e et le 15e km, un kilomètre parcouru vent de face, que j'attaque cependant sans faiblir, boosté par ma légère avance sur mes chronos intermédiaires et le sentiment de réaliser une belle course. A l'entrée de la très longue ligne droite finale, les spectateurs massés derrière les barrières matérialisant le couloir réservé aux coureurs redoublent d'encouragements à l'adresse des participants. Pour la forme (c'est le cas de le dire), je livre un long sprint - que je perds - avec un concurrent revenu à ma hauteur et qui viendra me saluer par la suite. Satisfaction totale : 1h34'07" sous l'arche d'arrivée (résultat détaillé ici) et des sensations excellentes. Comme quoi, dans le doute, ne t'abstiens pas toujours...

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30 mai 2010 7 30 /05 /mai /2010 00:45

Brive (19), vendredi 28 mai 2010, 21h15, temps idéal - Pour me donner un coup de pique, je prends le départ de la "Course des As", épreuve reine de l'événement pédestre "Courir à Brive".  Après le 10 km populaire, place aux chasseurs de chronos (et de primes pour les meilleurs), place au Grand Prix de la ville de Brive. Un sentiment bizarre au départ : 220 partants environ, tous visiblement très affûtés. Avec mes entraînements à-la-va-comme-je-te-pousse, j'ai l'impression de détonner. Justement, au coup du détonateur, je vais comme on me pousse, d'abord propulsé par le souffle des bolides qui m'entourent, puis par la foule massée dans l'hypercentre de la cité corrézienne. En avant pour trois boucles tambour battant. Au 2e km, un concurrent s'écrie : « 7'35" ! ». J'ai attaqué fort, trop fort. Dur, dur, le... coup de mou dès le 3e km. Le 1er passage près de l'arrivée donne la chair de poule : les clameurs du public transcendent. Après le coup de mou, le coup de fouet. Je me rejette dans ce tourniquet de folie. Au 5e km (19'58"), coup de bambou. Un meneur d'allure auquel s'agglutine un essaim d'individus venus arracher 40'00" me double, sans que je puisse recoller. Mon chrono cible s'envole, c'est le coup de grâce. Le mental lâche. Les batteries d'influx nerveux, sursollicitées dans la semaine, sont déchargées, usées, vides. Après 21'55" et 5,4 km de course, j'abandonne, pour la première fois. Coup d'arrêt ! Il fallait bien que ça arrive un jour. A peine le temps de regagner l'arrivée pour restituer ma puce électronique que déjà le vainqueur de l'édition 2010 coupe la ligne en 28'46" (résultat détaillé ici)... un autre monde. Courir à Brive le 10 km international est une expérience unique, grandiose, mais à préparer avec rigueur. Que l'on gère des ressources sportives ou financières, on devrait toujours s'appliquer une politique de rigueur pour ne pas apprendre la leçon suivante... à ses dépens : on ne peut vivre ni courir bien longtemps au-dessus de ses moyens...

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19 avril 2010 1 19 /04 /avril /2010 00:09

10 km du Haillan 2010Le Haillan (33), dimanche 18 avril 2010, 10h00 -  Il y a foule et foulées ce matin pour la 20e édition des 10 km du Haillan, épreuve support du championnat d'Aquitaine remarquablement organisée par l'A.S.H. Athlétisme. Au coup de pistolet, placé dans les profondeurs du peloton, je m'efforce de faire surface, emporté par cette marée humaine. Par chance, l'avenue qui déverse le flot des participants est suffisamment large pour fluidifier le trafic. Le 1er km  augure d'un chrono intéressant. Mais la deuxième partie du parcours est un combat : quelques montées d'acide lactique viennent durcir les quelques descentes douces qui accompagnentFinish 10 km du Haillan 2010 désormais les coureurs. Pas question de baisser de pied si près du but. Porté par la voix du speaker, je débouche dans le stade Abel Laporte pour l'épilogue... 41'31" (résultat détaillé ici) sous l'arche d'arrivée, pratiquement une minute de moins en une vingtaine de jours. Au Haillan, je peux le dire : j'ai vu du mieux chez les Girondins !

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29 mars 2010 1 29 /03 /mars /2010 11:35

Agen (47), dimanche 28 mars 2010, 10h00 - Mon premier dossard de l'année sur la poitrine, j'aborde la classique agenaise des 10 km du Pont-Canal avec la simple envie de prendre date, quatre mois et demie après ma dernière compétition. A la recherche d'un chrono-repère, je suis venu mesurer le fossé, voire le gouffre, qui me sépare de la forme optimale. Le 1er km est atteint en 4'15", le 2e en 8'26", le 3e en 12'46", la mi-course en 21'26". Le deuxième tour sera géré avec la même régularité, au mieux de mes capacités actuelles. Coup d'oeil sur la montre à l'arrivée : 42'25" (résultat détaillé ici). Un temps final moyen, mais qui me convient. En attendant des jours meilleurs, je savoure cette première étape chrono... logique.

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